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Direction le Salon dans...

Un peu de musique et d'humour !

vendredi 28 novembre 2014

En savoir un peu plus sur la race "Jersiaise"

Histoire :
    La race Jersiaise, originaire de l’île de Jersey, a été sélectionnée depuis très longtemps en vue de la production laitière. La Jersiaise se distingue par son petit format, son squelette particulièrement fin et une forme de tête caractéristique. Elle produit un lait au taux protéique élevé, la plaçant en tête de toutes les races laitières sur ce critère.

XVIème siècle :
    Premières importation de Jersiaises en France. On la connaît alors sous le nom d’Alderney, dénomination pouvant aussi regrouper d’autres races des îles anglo-saxonnes.

1860 : 
    Restriction d’importations de bétail sur l’île de Jersey: les élevages de Jersiaises en race pure sont ainsi facilités.

1903 :
    Fondation du livre généalogique français de la Jersiaise.

1985 : 
    Création de Jersiaise France en tant qu’UPRA de la race.

2008 :
    Suite à la restructuration des UPRA, la Brune et la Jersiaise s’associent pour créer Brune Génétique Service, regroupant les organismes de sélection des deux races.


La Jersiaise dans le monde :
    La Jersiaise est la deuxième race laitière en termes d’effectifs dans le monde.
Sa capacité d’adaptation à différents types de climats et systèmes d’élevages ont permis son développement sur les 5 continents.
Longtemps cantonnée à l’Ile de jersey, elle est aujourd’hui une race internationale avec près de 3 millions de vaches à travers le monde.
Aujourd’hui, la Jersiaise est sélectionnée sur tous les continents. Un large choix de taureaux est ainsi accessible aux éleveurs du monde entier offrant une bonne variabilité génétique et un progrès génétique assuré.

Et en France :
Le berceau français de la Jersiaise se trouve dans le département du Maine et Loire.
Si le Maine et Loire reste aujourd’hui le plus gros département en terme d’effectifs, on trouve désormais des Jersiaises sur tout le territoire.






Source :
http://lajersiaise.fr

jeudi 27 novembre 2014

Du nouveau dans la filière laitière

    Le «pacte laitier», signé mercredi par 14 acteurs de la filière, ambitionne «de simplifier et de faciliter la mise en œuvre des projets des éleveurs à tous les moments de leur vie d'exploitants agricoles».

    Le pacte prévoit la création d'un observatoire des volumes de lait « réactif et objectif au plan national et par bassin laitier » via FranceAgriMer. Ces outils collectifs ont pour but de permettre aux acteurs de la filière laitière de se référer à des données « fiables, partagées et transparentes ». Le rôle des instances de gouvernance de FranceAgriMer d'analyse de ces données, complété de l'observation des marchés français, européens et internationaux, sera réaffirmé à l'occasion de leur renouvellement au début de 2015. 

    Par ailleurs, les pouvoirs publics se félicitent du lancement par la filière d'un logo qui «permettra de promouvoir auprès des consommateurs un lait produit et conditionné en France, gage de qualité et d'emplois dans les territoires. En effet, la filière laitière, comme l'ensemble des filières d'élevage, permet le maintien de nombreux emplois dans les territoires. La reconnaissance de ces nombreux actifs, de leur rôle pour l'activité économique dans de nombreux territoires et leur prise en compte dans les politiques publiques est un enjeu majeur pour la filière laitière.» 


Source :
  Paragraphes tirés d'un article figurant sur : http://eleveur-laitier.fr

mercredi 26 novembre 2014

La vache gestante

    Puisque Danisse doit bientôt mettre bas (chose que l'on attend avec impatience !), il serait bien de s’intéresser de plus prés à la vie de ce petit, dans le ventre de sa mère.

Son existence au sein de sa mère s'est déroulée en plusieurs étapes :
    - Fertilisation : La fertilisation est l’union d’un spermatozoïde avec un ovule pour former la première cellule de l’embryon. La fertilisation prend place dans l’oviducte. L’embryon entre dans l’utérus deux ou trois jours après la fertilisation, mais ne s’attache à la paroi utérine (implantation) que 28 jours plus tard.

    - Implantation : L’implantation consiste, en partie, en la formation de 80 à 100 structures où le tissu fœtal (cotylédon) et le tissu maternel (caroncule) s’entremêlent intimement. Après le vêlage, si les caroncules et le tissu fœtal ne se séparent pas, le placenta est retenu (rétention d’arrière-fait). Le processus d’implantation inclut aussi la formation du cordon ombilical qui permet les échanges de nutriments et de déchets entre le tissu maternel et celui du fœtus. L’implantation est, en général, terminée au 45ème jour de gestation.

    - Diagnostic de gestation : Les méthodes les plus courantes pour diagnostiquer la gestation sont (1) l’absence de retour en chaleur, (2) la concentration de progestérone dans le lait et (3) la palpation rectale.

    - Croissance du fœtus : La plus grande partie de la croissance fœtale se produit pendant le troisième
trimestre de la gestation (jours 190 à 282). Durant cette période, le poids du fœtus augmente de 4 à 40-45 kg et les besoins
nutritionnels de la vache augmentent.


Source :
http://babcock.wisc.edu/sites/default/files/de/fr/de_10.fr.pdf

lundi 24 novembre 2014

Et voici, la remplaçante de Danisse !

 
  Puisqu'on ne sait pas de quoi demain est fait, il vaut mieux couvrir nos arrières. C'est pourquoi nous avons choisi une remplaçante pour Danisse : Mademoiselle "F". Elle n'a encore pas de nom, on y réfléchi..

   Elle aura les même soins et le même entrainement que notre titulaire afin de la préparer un maximum à partir au Salon, au cas où, il arrive quelque chose à cette dernière.







Quentin et F..... au travail.

Samedi midi, en passant à la bergerie... (22/11/2014)

     En arrivant à la bergerie... Surprise ! Une brebis allait faire son petit. Nous avons d'abord observé comment ça se passait mais au bout d'un moment, on a bien vu qu'il n'y avait pas de progression. Nous avons donc décidé d'intervenir. Sarah a d'abord isolé la brebis dans une case à part pour qu'elle soit tranquille et est ensuite allée enfiler un gant. En passant la main dans le col de l'utérus, Sarah a senti qu'il n'y avait pas beaucoup de place et que la tête de l'agneau était assez imposante et légèrement sur le côté. Il a donc fallu manipuler un petit peu pour mettre tout cela correctement.
Au final, tout s'est bien passé et le petit agneau est né, un bon morceau !

Vidéos et photos à venir...